C’est vrai qu’il y a chez nous une majorité de locataires contents de leur sort, sinon heureux. Il n’empêche qu’à deux pas de leur porte vivent des familles avec enfants, des jeunes couples, des retraités qui sont à l’étroit, ou voient avec plus que de l’inquiétude approcher les fins de mois. Malheureusement l’un n’exclut pas l’autre.

Des solutions sont à trouver pour permettre aux moins favorisés de se loger convenablement, dans de bonnes conditions d’habitation. La seule dynamique du marché libre ne suffit pas à résoudre le problème.

Évoquer la situation, en chercher les causes, prendre publiquement en sympathie les mal lotis est un signe positif de bonne volonté, mais agir est une nécessité. Il existe des possibilités de passer à des actions concrètes.

Il faut saluer avec satisfaction le bon voisinage existant entre les locataires-sociétaires; l’ambiance est très agréable. D’ailleurs, les déménagements sont rares.